I don't know how it started. I only remember how it ended. Maybe that's what people call a broken heart.
I entered the room. I saw him sitting there with his eyes closed. I didn't know whether he was sleeping or not. I went straight to my room.
I cried silently. I knew I had to end it. I knew it was over even before I spelled the words to him. Maybe he knew it too.
I stayed at the room until 11 pm. Then I stood up, one leg stepped ahead. The door was opened. He was there, tears on his cheeks.
"I'm sorry..." he said.
I hugged him. I shook my head.
"I'm leaving tomorrow..." said I.
Then I left the next day with a huge desire to forget it all. He hurt me and my adopted little girl, Sandy. She was taken from my hand because of him.
Or, because of me? I'm sick, I can't deny. But she shouldn't have been the victim. My broken heart is nothing compared to her broken soul.
I'm sorry, Sandy...
I'm sorry, Sandy...
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Je t’aime, Michel…
J’ouvrais mes yeux et il était là. Je savais pas depuis quand. Les larmes, la tristesse. Encore, je fermais mes yeux. Je pouvais pas voir cette tristesse, là, dans ses yeux. Il n’a jamais été triste avant. Il était une personne la plus vivante que j’avais connais.
Ses mains sur les miens.
“Cécile, écoute…j’ai besoin de toi…”
Moi aussi…j’ai entendu mon cœur le dire. Tu ne savais pas, Michel…j’ai besoin de toi même beaucoup plus.
“Cécile…ne pars pas. Ouvre tes yeux, chérie. Je sais pas comment vivre sans toi…”
J’ouvrais mes yeux. Beacoup plus de larmes.
“Cécile…oh, chérie…tu les ouvrais…tes yeux…tu seras bien…”
J’ai sourit.
Il a aussi. Entre ses larmes.
“Je t’aime, Michel…n’importe comment…”
Et depuis là, je ne pouvais plus voir ni sa tristesse ni son souri. Car, jamais, je n’ouvrais mes yeux, non plus.
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Moi, je m’appelle Michel, et elle, Cécile…
Je sais pas quelle vie que je vivais avant sa presence. Elle m’avait beaucoup change. Elle, avec ses lèvres mignonnes. Je l’adorait quand elle souriait…ou riait.
Elle a été entrée dans ma vie il y avait six mois. Elle avait tout fait pourque j’avais su qu’elle avais existé. Jamais, je n’avais vu une fille essayer assez fort pour attirer mon attention.
Ses yeux, ils étaient drôles. C’etait comme ils parlaient, ils riaient. Ils montraient la joie de la vie.
“Ah non, Michel…c’est toi qui est très vivant…je t’adore a cause de ça, tu sais…”
“Mais, chérie…je suis vivante à cause de toi. Sans toi dans ma vie, peut-être j’ai devenu un vieillard gâteaux…”
“Ben non…”
Elle riait si j’ai dit ces mots là, un vieillard gateaux. En faite, c’étaient seulement des sourits et des rits que j’ai vus sur ses lèvres.
Mais, je sais pas depuis quand je pourrai les voir, ses rits. Elle est devant moi, maintenant. Mes mains sur les miens. Ses youx fermés…
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